ENI a présenté à Abidjan son deuxième rapport sur le développement durable en Côte d’Ivoire, confirmant son engagement pour une transition énergétique intégrant croissance économique, inclusion sociale et protection de l’environnement.
Le groupe pétrolier a signé trois accords stratégiques entre 2024 et 2025. Le premier, avec le ministère des Eaux et Forêts, vise la conservation et la restauration de forêts classées. Le deuxième, avec le ministère de la Santé, renforce le système de soins communautaire. Le troisième, avec le ministère de l’Agriculture, ouvre des perspectives dans les filières agricoles et agro-industrielles, notamment pour la production d’huiles végétales destinées à alimenter les bioraffineries du groupe.
Sa filiale, ENI Natural Energies Côte d’Ivoire, transforme des résidus agricoles en huiles végétales. La production d’huile de caoutchouc a progressé grâce à la collaboration avec 6 000 agriculteurs et 162 coopératives, et un accord a été signé pour fournir 6 000 tonnes de liquide de noix de cajou.
ENI met aussi l’accent sur le contenu local, la formation et l’emploi des jeunes. Des masters professionnels ont été développés avec l’Institut national polytechnique Félix Houphouët-Boigny, et plus de 400 jeunes ont suivi des formations via les programmes Pro-Jeunes et Emploi Durable.
Dans le cadre de ses initiatives sociales, le groupe a rénové cinq centres de santé, construit une maternité, fourni des ambulances adaptées aux zones rurales et amélioré les infrastructures scolaires pour plus de 16 000 élèves. En parallèle, le projet Ethical Fashion Initiative soutient la création d’un pôle textile durable et d’une entreprise sociale.
Présent en Côte-d’Ivoire depuis 2015, ENI a réalisé les découvertes majeures d’hydrocarbures Baleine et Calao et continue d’investir dans des projets conciliant performance énergétique et impact socio-économique positif.
