La guerre à Gaza connaît un tournant majeur. Ce jeudi matin, le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi a annoncé la conclusion d’un accord de cessez-le-feu entre Israël et le Hamas, mettant fin à deux années de conflit dans l’enclave palestinienne.
La déclaration a été faite depuis Sharm El-Sheikh, symbole régional du dialogue et de la diplomatie. Ce nouvel accord s’appuie sur les grandes lignes du plan de paix proposé par l’ancien président américain Donald Trump, avec une médiation conjointe de l’Égypte, du Qatar et des États-Unis.
Selon les autorités impliquées, cet accord ne se limite pas à un arrêt des combats. Il marque un engagement vers une nouvelle phase de stabilité, de justice et de reconstruction pour les populations civiles lourdement touchées par les violences.
Dans un contexte marqué par des pertes humaines et matérielles considérables, les négociateurs ont salué un accord qui « fait triompher la volonté politique de paix sur la logique destructrice de la guerre ».
Même si les détails de l’accord restent confidentiels à ce stade, les premières déclarations des parties impliquées font état d’un engagement commun à la reconstruction de Gaza, au respect des droits civils des populations affectées, et à une coopération régionale renforcée.
Cet accord pourrait ouvrir la voie à un dialogue plus large sur l’avenir du territoire palestinien et la sécurité régionale, même si les défis restent nombreux.
