À l’ouverture du Sommet national de la jeunesse, tenu à Alger pour le 63ᵉ anniversaire de l’indépendance, le président Abdelmadjid Tebboune a appelé à une participation politique accrue des jeunes. Son discours, lu par le Premier ministre, met en avant leur rôle dans l’innovation, la gouvernance et la prise de décision.
Le chef de l’État promet des mesures concrètes telles que des formations en gouvernance, l’accompagnement des initiatives citoyennes et facilité d’accès aux postes de responsabilité dans l’administration. Il voit en la jeunesse une « force de proposition et d’action politique ».
Mais ce sommet se tient dans un climat marqué par des appels à plus d’ouverture démocratique. L’exclusion de l’écrivain Boualem Sansal de la dernière liste de grâce présidentielle continue d’alimenter la polémique sur les libertés politiques et la liberté d’expression.
