La situation est désormais claire. Après l’expiration de leur mandat en juillet 2024, les anciens conseillers du Conseil économique et social (CES) ne reçoivent plus aucun salaire ni avantage. La Direction administrative et financière du CES a mis un terme à toute rémunération, garantissant ainsi la sécurisation des fonds publics.
Dans une démarche de clarification, l’un des ex-conseillers a pris contact avec un média local. Il a précisé, lors d’un échange confidentiel, que les paiements avaient cessé depuis juillet 2024, date de la fin de leur mandat. « Les salaires et autres avantages ont pris fin avec la fin de notre mandat », a-t-il confirmé, en soulignant que si des doutes subsistent, il est possible de contacter directement le DAF du CES pour obtenir plus de précisions.
Cette déclaration vise à dissiper toute crainte d’une gestion malhonnête des fonds publics au sein du Conseil. Ainsi, avec la suspension des rémunérations des anciens conseillers, l’argent public est désormais protégé.
Cependant, un problème persiste : le manque de légitimité des conseillers actuels et l’urgence d’installer un nouveau bureau national du CES. Bien que les 12 coordonnateurs départementaux aient été élus il y a plusieurs semaines, les citoyens restent dans l’incompréhension quant au retard pris dans la mise en place du nouveau bureau.
Il est donc crucial que cette situation soit réglée dans un bref délai. Le Président Patrice Talon, doit intervenir pour que le Conseil économique et social puisse fonctionner pleinement et efficacement.